Le Saint Rosaire est prié en Irlande et dans les pays du monde entier depuis des siècles. Il est envoyé par le Ciel et a été prononcé à Fatima par notre Sainte Mère.
Le chapelet tel que nous le connaissons, dans sa cohérence, est passé du bois au verre et au cristal. Puis, plus récemment, elle a été changée en différentes couleurs et a pris des formes, des tailles et des nuances différentes, même des roses parfumées, des pétales, etc.
Dans le climat actuel du monde, l’avortement prévaut et le chapelet contient maintenant des gouttes de larmes avec un petit bébé à l’intérieur de chaque goutte.
Lorsque nous prions ce chapelet particulier, notre attention est attirée sur le bébé à naître pour lequel nous prions en tant qu’intention. Il nous rappelle le bébé dans le ventre de sa mère qui n’a pas de voix avec laquelle parler, qui est sans défense, la création de Dieu en danger d’être tuée dans un avortement.
Ce chapelet est comme tous les chapelets une arme contre le diable. Le Rosaire fait partie de l’Église, des fidèles et de notre vie pour vaincre le mal.
Ce Rosaire de l’enfant à naître n’a rien de contraire à l’enseignement de l’Église, il encourage la prière pour l’enfant à naître, il place clairement dans l’esprit de la personne qui prie, exactement ce pour quoi elle prie. Le pouvoir du Rosaire est bien documenté et donc, avec ce Rosaire de l’enfant à naître, il mérite d’être reconnu, la reconnaissance qu’il mérite.
Je reconnais que ce Rosaire des enfants à naître revêt une importance particulière dans le monde d’aujourd’hui dans la lutte contre l’avortement.